Et pour tant
J’ai choisi de savoir plus tôt que d’y croire
Et pour tant
J’ai choisi de comprendre plus tôt que de savoir
Et pour tant
J’ai choisi de ressentir plus tôt qu’un con pris
Et pour tant
J’ai choisi de vivre plus tôt à vue de nez
Et finalement
De tout mon coeur, de tout mon être et de toute mon âme
Je sais, je comprends, je ressens, je le vis
Dans le noir, aucune autre issue que d’y croire
Je fascinant si simple, mais aussi compliqué
Car malgré la défaite, on est sûr de gagner
Que ce soit par derrière, ou bien à vue de nez
L’important car c’est clair, c’est bien de s’amuser
Nous sommes tous des joyeux, moi en particulier
Détends toi mon ami, pris de toi je suis né
Tu me dis vous ou tu ? Je te répondrai net
Tu as tort de penser, que nous sommes fammilliers
Le lien qui nous unis, il se trouve dans ta tête
Vous me dîtes tu ou vous ? Je ne puis vous répondre
Ne faites pas cet effort, répétez la question
Soyez sûr les amis, j’ai hôte chose à pondre
et toujours le plus fort
MAIS il n’est point d’absolue-t-ions
en toute vérité
OU l’amour que long nez change
est l’unique monnaie
Et la force dans le dos
l’Une Hic! ex-attitude
DONC j’ai choisi deux savoirs
plutôt que d’y croire
OR j’ai su que comprendre
est proche d’être suffisant
Ni sentir, ni voir, ni ressentir
ni regarder, ni leurrer, ni sourrir
CAR la vérité est si belle, si évidente
en effet les poires font vivre
Quant à compris ça, tu as tout.
Compris !?
Le pauvre ami le sait, il a déjà gagné
Quant à moi étant riche, j’étais certain de perdre
Plus il avançait vite, plus vil je reculais
Il se cru amiral, je le voyais boucher
Il se vit grand stratège, je le su bas tombé
Il se vit visionnaire, quand mes tours furent passées
Je le su millionnaire, quand mon fou fut sauvé
Le combat faisait rage, et les pions manquaient
Sur le champs de bataille, l'éclairci arrivait
L’issue était claire, la fin se rapprochait
L’évidence tel un sourire, lentement dessinée
La joie, l'excitation, la plénitude du cou dernier
Aussi blanches qu’Une brebie, tout le monde les voyaient
Et mon roi fut coincé, impossible de jouer
J’ai la pâteuse c’est juste, c’est clairement un fort fait.
Un tourmenté qui surgit hors de la terre
cours vers l’eau, vision aux gaulois
Son nom il le bois à la pointe du goulot
D’un N qui veut dire son contraire
Nana, Nananère
PINARD, rosé qui fait son foi
Nana, Nananère
Liqueur, je suis car c’est mon choix
Il est un cavalier, croisé sur son chemin
Un roi fort d’idées, qui croyait au destin
Du haut de ses grands yeux, il jugeait les malins
Faisan du moins au mieux, avec ses cartes en main
Le roi avait une Dame, de pique ou bien de coeur
Un cavalier sans âme, ne connaît pas la peur,
D’emblée il est trop tard, diagnostic avant l’heure
Le roi est imbattable, quelque soit la couleur
Gare aux bons sentiments, des fois c’est juste un leurre
Personne ici ne ment, un cavalier suffit
et très certainement, quand il sort de la nuit
Pour faire de beaux projets, surtout s’ils sont nombreux
Contrairement au roi, il cavale tant qu’il pleut
apporter du bonheur, aux plus nécessiteux
...
Un jours tu comprendras, l’argent n’est point richesse
il n’apporte pas la joie, uniquement des promesses
Je ne crois pas en Dieu, je ne suis pas sujet
Je fais ce que je veux, loin de toute monarchie
Ton air condescendant, ne marchera jamais
Je suis un suffisant, turbulent de la vie
Mais pour qui je me prends, toi tu me crois patate
Si seulement tu savais, qu’est la topologie
de l’esprit c’est un fait, l’échec ne serait pas mat
Et je sais qui je suis, juste un simple pirate
Reste connecté aux ondes, pour la dernière fois
il existe dans la vie, des hommes sans foie ni loi
le monde est responsable, moi j’entends tous les cris
Le plus grand des capables, emprunte des raccourcis
Ils y sont parvenu, je ne suis plus malin
Je suis un parvenu, tout au bout du chemin
Le Docteur a bien lu, c’est un Alexandrin
Pourtant je suis Gaulois, et j'écris des poèmes
Ce n’est pas dans la loi, c’est bien là mon problème
Le Pinard et son foi, il s’est trompé de thème
Mon destin c’est leur choix, noyade dans mon chagrin
Mais cette étiquette là, elle est d’un con signée
Marquée du sot du Roi, et bien embouteillée
Je ne joue plus à l’oie, je suis maintenant vilain
Je me sert de mes doights, pour faire des jeux de mains
Tu le regrettera, toi l’horrible catin
Un jours tu comprendras, qu’infuse n’est pas ta science
Pauvre petit chatton, sur la bête je le jure
Tu perdras ton emploi, je n’ai aucune clémence
Je n’suis pas roi des rois, ma colère est bien mûre
Je cueillerai ton émoi, ma pauvre petite chatte
Je suis bien pire que ça, c’est la seule chose de sûr
Je suis la voix des voies, le plus grand des pirates
LA VIE EN SARTRE
Je suis le bon Pinard, avec sa volupté
Tout le monde au courant, je suis bien bouchonné
Peu import le vrai, il n’y a qu’une vérité
qui contera pour moi, contre ma volonté
C’est peut-être l’heure du T, mais je suis enfermé
Moi je bois du coca, je m’en fou c’est un fait
Je méprise vos lois, maintenant je vous hais
Vous n’en sortirez pas, je n’ai point de pardon
à accorder au roi, qui m’a mis en prison
Situation pénible, situation grotesque
Mon engeance est terrible, ma vengeance est Dantesque
Quand je suis arrivé, le diagnostic fut clair
Oui je suis un drogué, un rapide comme l'éclair
Alors pour me soigner, on me donne une dragée
Puis une autre plus petite, fini de m’assomer
Avaler les couleurs, de mes deux saints benets
Plus que quelques gorgées, je serai bientôt prêt
A affronter la vie, sous un angle parfait
Tous ces jours dans le noir, étaient ils nécessaires
Savez vous qu’ici bas, c’est bien pire que l’enfer
Heureusement pour moi, j’ai trouvé Lucifer
Loin d’être une tête de noeud, il me dit comment faire
Savais tu qu’être heureux, c’est comme un adultère
Ca devait arriver, après plusieurs nuits
L’insomnie m’a trouvé, émergé de l’ennui
C’était ma destinée, quelques gouttes de repis
ont sauvés mes nuités, apaisé mes pensées
Je suis enfin normal, je ne suis plus drogué
C’est vrai que Marie Jeanne, est bien pire quand va l’homme
Chez le psy toutes les routes, mènent pour sûr au sérum
Cette équation est simple, le chemin du bonhomme
Inévitablement, finira dans le rhum
J’ai zappé mes cachets, et je suis remonté
Dans un état obscène, et devant le carré
Je suis vraiment heureux, mais le doute l'assaille
C’est peut-être une aubaine, ça ne va pas durer
Halouna que se passe-t-il ? Je commence à planer
Mais plutôt vers le sol, vais-je finir en bouillie ?
Pas besoin de cachets, devant TPMP
Ce n’était pas mon choix, moi je reste bouche bée.
C’est un lieu peu commun, un haut lieu de malheur
La tristesse fait du bien, nous sommes toujours en vie
Par mon coeur je me tiens, je m’accroche au bonheur
Triste sort que le miens, partout je suis suivi
Ils attendent toujours, que je redescende
Ils attendent les zamours, que je sois dans le spleen
Ma fortune j’ai donné, ceux qui en ont besoin
J’étais riche de pensées, ma santé était clean
Et j’étais dangereux, c’est parfaitement logique
Pardonnez moi mes frères, d’en avoir plus que vous
Excusez mon émoi, pour ceux qui n’ont pas de fric
L’égo c’est la santé, oubliez l’héroïsme
Dans une salle de ciné, le partage est mal vue
Pensez donc mes amis, vous gênez l’égoïsme
Alors je guérirai, oui mais en temps voulu
Tu as bien étudié, l’âme n’a plus de secret
Mais comment expliquer, ton abscence de succès
Tu penses vraiment pouvoir, soigner les maladies
Aguerrir les malades, monter les affaiblis
Tu n’as aucun pouvoir, sauf celui du médoc
Ecoute le bon Pinard, il sait faire de l’esprit
Car il n’est pas trop tard, pour penser ta connerie
OK ?
Le zéro c’est l’enfer, l’enfer des préados
Endroit ou j’ai souffert, on y courbe le dos
On est autorisé, à être des animaux
Aucun droit de la chaire, à part écrire des mots
La seule joie c’est amer, me griller le cerveau
A coup de cigarettes, après l’heure du garo
Enfin j’ai pu monté, au quatrième enfer
Mon moral est par terre, de moi on s’est foutu
La vexation est grande, mes pauses clopes sont perdues
Cette logique là est leurre, je n’ai plus de soucis
Les fou c’est bien connu, on le droit au répit
liberté accordé, c’est l’heure de la promenade
détention encadrée, non mais quelle rigolade
Je me laisse porté, sur mon lit d’hôpital
mes amours m’ont porté, le premier coup fatal
quelque part ça m’amuse, de me faire porter pâle
Car un jours je l’aurais, le dernier point final
Enfin voici venu l’heure, de marcher au pas
Peu importe ton dû, peu importe ton poids
Peu importe ton vécu, peu importe ton âge
Car il est 18 heures, c’est mon heure préférée
Celui ou pour une fois, je bois pas que du noir
Fait passer la pilule, il est l’heure de manger
Voici donc l’heure du trait, qui va laisser ses traces
Aussi blanche qu’une craie, un souvenir qu’on efface
Je ne laisserai pas faire, cette engence de démon
Privé de liberté, je t’explique ma version
On m’a mis dans une cage, qui va me l’avouer
Je suis épris de rage, aucune chance de flier
Voici donc l’heure du trait, la dose a augmenté
La vengeance est un plat, qui se mange au goûter
Préparez vous mes frères, ma nouvelle famille
Vous allez regretter, de m’avoir côtoyé
Jamais je ne pardonnerai, vous me l’avez enlevé
mon bijoux mon précieux, par un trait remplacé
C’est trait certainement, une farce mal placée
Ca m’aurait fait du bien, peu importe la suite
Car là je ne fais rien, il faut que je sorte vite
Ma famille éclatée, j’en ai plus rien à faire
Ils ont osé signer, ce lieu n’est pas une suite
Plutôt un terminal, le dernier des enfers
Je n’ai plus aucun coeur, j’adore le six de pique
Par trois fois je le suis, mes cartes sont à l’envers
Soulagé je m’essuie, sur le dos de mon père
libéré je serais, pour tourmenter ma mère
Qu’ils comprennent mes peurs, ça m’aurait fait du bien
Ils refusent de penser, je suis devenu malin
Si seulement lentement, ils m’avaient écouté
Si seulement ils avaient, tenté de me comprendre
que je sois plus malin, qu’eux c’est hors de question
Ils me pensaient sanglé, sur le point de me pendre
Trop subtile je l’avoue, j’ai vraiment l’air d’un con
Dans ma suite royale, le précédent pensait
Sûrement tout comme moi, la voie du ça m’aurait
Ca m’aurait fait du bien, de leur faire confiance
Au début d l’histoire, c’est vrai qu’on est en France
J’ai beau être interné, je suis au bar de faire
on veut me l’enlever, ce n’est pas pour me plaire
mon crayon est taillé, mon esprit suicidaire
n’a jamais existé, je suis simple notaire
J’ai beau être interné, j’ai gardé l’arrogance
De pouvoir me lever, sans cette accoutumance
Ces cachets imposés, c’est pour moi l’évidence
Mon moral est ruiné, je retourne à l’enfance
Si seulement c’était vrai, je suis seulement en trance
J’ai beau être interné, le matin je me lève
Avec la barre de faire, qui martèle mon front
et ma plume acérée, écriture de mes rêves
Avec ma barre de faire, je martèle les cons
Mes poings finauds arrivent, tels un chiots qu’on achève...
C’est le grand personnel, et son moral de faire
Qui anime les jours, qui me berce dans la nuit
Oui ce sont des amours, mais non pas mes amis
C’est le Grand personnel, qui m’inspire cet air
Ceux là en première ligne, prennent le temps d’écouter
Quand certains font l’inverse, et sont bien mieux payés
C’est le Grand personnel, qui s’active et qui gère
Les impatients bornés, les patients malmenés
Les petits tracacés, et les grands tourmentés
Pour le Grand personnel, un grand G ça c’est clair.
Dans cet univers froid, il était un patient
Il attends sans émoi, de recevoir ses eaux
Des poissons en tous genres, qui tournent dans leur bocaux
Pas trop vite s’il vous plait, il faut garder l’élan
Attention au gardien, lui n’est que violent
Petits pas doucement, nous traçons un zéro
Toc toc toc qui est là ? C’est le voisin chambré
Drôle de tic celui là, attention c’est un loup
Peu importe je suis las, qu’il arrête de toquer
C’est la chance du début, tant que je tiens le cou
Du voisin de chambré, il va bien se calmer
Pas de chance à la fin, c’est moi qui suis toqué
Toc toc toc drôle de tic, ma tête va exploser
Le psy avait raison, c’est un fait je suis fou
DEDICACE AUX TRES BIEN
Il existe une contré, proche de tous les soucis
Les pieds dans l’eau salé, la tête très loin d’ici
Habitants des marées, habitués des sots
Qui creusent les rochers, et remplissent leur égos
Qui dictent leur pensées, et malmènent leur silos
Cette contrée est au Nord, là où le ciel est gris
Sur les doigts d’une main, ils comptent les éclaircis
Mais pas assez de grains, pour compter les ennuis
Malgré le vent qui sème, tous ces lots de problèmes
Les gens de la contré, conserve leur ami
Un poteau bien planté, leur unique totem
Courage et volonté, le plus beau des tandems
Réfractaire je le suis, à la vie de bohème
Réfractaire je le suis, la routine quotidienne
Réfractaire je le suis à écrire des poèmes
Cherchez pas la logique, cette logique là est mienne
Réfractaire je m’essuie, sur vos idées de rêves
Réfractaire je m’essuie, sur vos propos sans haine
Réfractaire je m’essuie, sur vos projets de trêves
Cherchez pas la logique, cette logique là est reine
Réfractaire je m’assois sur vos petits problèmes
Réfractaire je m’assois, sur vos si vos quand même
Réfractaire je m’assois, sur tout ce que j’aime
Cherchez pas la logique, cette logique là est belle
Car je suis c’est très bien, le plus grand des rebelle
Non jamais de ma vie, je n’ai vu tel courage
Non jamais de ma vie, je n’ai vu tel charisme
Non jamais de ma vie, je n’ai vu telle bonté
Cette mousse tâche bien trop fort, cette bonne mine n’est pas sage
Il en fait peu pour rire, beaucoup pour se laver
Alors cesse tout de suite, de te faire un bennet
Je refuse à jamais, de servir un beignet
Ils sont beaux mes deux sceaux, je les ai bien rempli
Avec mes idéaux, mais la source est tarie
J’en ai marre d’expliquer, a ces deux imbéciles
Que la vie n’est pas née, d’une maison d’une famille
Alors qu’ils se regardent, tels des cons en chaleur
Moi je n’ai plus de garde, pour ouvrir leur coeur
Un beau jours tu verras, ma vie je gagnerai
Ce jeux la n’est pas l’oie, mais l’art de négocier
Un beau jours tu sauras, que tu es au marché
Ton poulain n’est pas là, mais il devra payer
Son coeur je toucherai, car je suis bel arché
Un monde sans roi des rois, n’a pas lieu d’exister
DEDICACE AUX NANARS A L'EAU
Il est bon le Pinard, bon sans l’ombre d’un doute
Dès le premier regard, nous fûmes de grands égos
La science et le savoir, étaient sur notre route
Et sans aucun pouvoir, le plus grand des idiots
A choisi son histoire, plutôt que les écoutes
Bienheureux à jamais, dans le creux de sa main
se trouve sa destinée, pour toujours il n’est qu’un…
Mon rival ne vaut rien, c’est bien là mon problème
Dans ma tête il est né, dans la vie très passée
Dans ses yeux je me vois, dans ses bras je me tiens
Sur ses pieds je me lève, en son coeur j’ai trouvé
Mon âme soeur est à poil, loin d’être la panacé
La santé le courage, même à deux il n’est qu’un
Pauvre ami je me plains, unique est mon tandem
Il y avait un jus, qui se trouvait bon goût
ayant toutes les réponses, on y trouvait de tout
Si seulement elle savait, que le vin peut tourner
elle aurait pris conscience, du mal qu’elle a bien fait
l’infusion de la science, est en réalité
un jus qui se déguste, ils ont bu tes paroles
Et toi tu a tenu, à faire des paraboles
tu as croqué le fruit, ils ont choisi de croire
ils ont payé le prix, c’est bien là ton histoire
Je me suis remboursé, je te laisse rester zen
tourne dans ton bocal, je ne sais pas la haine
mais je vais te donner, ma dernière vérité
cherche à cerner les autres, n’est pas souvent bienfait
La seule chose qu’on en tire, c’est de les fatiguer
regarde toi dans une glace, tu pourras contempler
celui qui est empereur, et la lueur des astres
Et l’eau est dans mon coeur, soit l’ampleur du désastre.
Il était une fois, une bonne fois pour toute
Un homme sans foie ni loi, se trouvant sur ma route
Tout le long du chemin, juste derrière mon épaule
Sussurant mon destin, pour échanger les rôles
Mais il n’était pas qu’un, c’est bien là mon erreur
Car lui et ses copains, ont volé mon bonheur
Celui d’être qui je suis, le plus grand des voleurs
Si ces crétins savaient que j’ai puisé ma force
Dans ma rage pour ces traîtres, et ce n’est pas du morse
Pas de double lecture, je ne suis pas un corse
Ils se reconnaîtront et je prie pour leur âme
J’irai bien en enfer, j’ouvrirai mon Césame
Aux flammes de la vengeance, moi même je tournerai
La roue de la fortune, je suis un visionnaire
Mes bourreaux je le jure, ils perdront leur lumière
J’ai perdu ma médaille, loin d’ici dans l’abîme
Son sourire était tel, un oiseau sans répit
Son malheur arriva, en sa blonde et la vie
Tout à coup sembla sale, imprégnée de vomi
Mais la joie est immense, le chagrin disparu
Un bijoux si précieux, ne peut être perdu
Les premiers les derniers, qu’en est-il du deuxième
Seras t il à jamais, l’éternel sans souci
L’avant garde du monde, lui souri sans un même
Au dessus des nuages, la lumière se tari
En duo ou en bande, nous sommes toujours unique
Refusant l’évidence, et j’en suis fort marri
Pourquoi diable n’a t-il point, refusé ma tunique
La douleur est intense, il était mon ami
Les plus précieux du monde, mes potos m’ont permis
De découvrir une loi, que je n’imaginais
On choisi sa famille, et non pas ses amis
Ce mot là est un leurre, qu’on juge à l’imparfait
Car les faux sont légion, partout j’en trouverai
Un peu trop occupé, à fermer leur esprit
Sur une roue de tétine, de beaux projets de vie
Une maison et un chien, le bonheur des vrais
Je ne leur en veux point, à chacun son déni
chacun son paradis, chacun sa connerie
Mais faite la différence, ne soyez pas simplet
Il y en a qui sont prêt, à faire des sacrifices
Les autres sont des façades, ils te rendent des services
C’est de la rigolade, ce sont des petits laids
Alors paix à leurs âmes, j’allumerai une bougie
Je préfère les cigales, bien plus que les fourmis
C’est ce Pierre qui est proie, et je vais l’attacher
Je ne lui jette rien, mais tu vas bien morflé
Le jours ou tu sauras, l’immonde vérité
Ton sauveur n’est pas loin, tu attends la santé
Mais celle-ci partira, à force de dessiner
Les images font la loi, et tu nés pas banquier
Alors vite décide toi, à venir m’épauler
Savais tu que la folie, n’est pas un singulier
Je sais bien qui vous êtes, je ne suis pas dupé
Attendez mon retour, faites l’erreur de penser
Que je suis seul au monde, vous allez déchanter
Oublions la vengeance, c’est de la guérison
Un cancer qui croit, au sein de mes poumons
Les visions dans ma tête, ont toujours eu raison
De vous mes chers amis, je vous l’ai pourtant dit
Je suis la plus grand farce, vous êtes les grands dindons
DEDICACE AUX FURIEUX
Ne t’inquiète pas mon frêre, tu vas bien les niker
Pas besoin de chaussures, encore moins de lacets
Pas besoin de voiture, tu sais déjà voler
T’en fais pas mon poto, ya pas plus fort que toi
Pas besoin de moto, pour guérir ton émoi
Tu vas bien les niker, car tu l’as déjà fait
l’addition est salée, pas besoin de monnaie
Ton honneur suffit large, pour tous les enfoncer
Et ensuite prendre le large, avec ta bien aimée
Il était une fée, qui sans cesse renaissait
de cendres et de fumée, sa voix grave m'apaisait
mère de toute la planète, sauf des grands enculés
Tes mèches blonds sont une flamme, qui réchauffent nos pensées
Tes yeux bleus sont un phare, guidant nos destinés
la couleur de ta peau, trahit l’identité
l’origine de tes eaux, tu n’as pas eu de veine
Mais tu seras vivante, reconnu écrivaine
Quand je t’ai rencontré, j’étais au fond du trou
Quelque part toi aussi, et on s’est retrouvé
Dans la joie dans l’amour, tout ceci était fou
Et tu m’as protégé, quand le câble à sauté
On était tou les deux, et nous sommes séparés
Désuni dans la chair, mais à jamais lié
Mon joli petit chat, tu t’es un poil trompé
tu ne m’appartiens pas, je n’ai pas de collier
Je suis libre comme toi, de choisir mon enfer
Dans tes yeux je me vois, soit 10 ans en arrière
Tu es bien un génie, je n’suis pas géniteur
Je veux tuer l’ennui, me donner du bonheur
Aurais tu peur de moi ? je suis juste un farceur
Je contourne les lois, limitant le labeur
Je ne te toucherai pas, je me connais par coeur
Quand on se reverra, je ne ferai pas l’erreur
d’être sans foi ni loi, le plus grand des parieurs
Alors mon petit chat, choisi bien ton enfer
Si tu viens avec moi, tu seras une panthère
Ne pas sousetimer, le bonheur d’un lit
Quand il est bien douillet, il est une seconde vie
Dans la nuit étoilée, ou flottent nos ennuis
Il y a ce filet, tendu par une amie
Ne pas sous estimer, les âmes solitaires
on a plus qu’un seul souhait, Quand on pense l’univers
s’effacer dans la nuit, changer les coeurs en verre
Ce pour mieux les briser, faire saigner Lucifer
Ne pas sousestimer, les moissonneuses nocturnes
Elles recoltent le blé, et cela sans un bruit
le fruit de nos pensées, celles qui n’ont pas de prix
Mariant nos idées, aux anneaux de Saturne
Ne pas sousestimer, la beauté de l’asile
C’est toute l’humanité, dans une petite ville
la femme aux canidés, celle la au bout du fil
Et en particulier, durant le mois d’Avril
TEMPETE DANS LE CRESSON